le FCGI
Le début
Depuis 2019, le FCGI convoque diversifié d’intervenants des gouvernements, de la société civile, du secteur privé, du milieu univiersitaire et de la commaunauté technique pour discuter des questions urgentes propres aux politiques d'internet.
Le format du FCGI a changé pendant les années, mais une chose reste: nous fournissons l'opportunité aux parties prenantes canadien.ne.s pour discuter les problèmes urgentes des politiques d'internet.
élargir les horizons
En 2023, nous convoquions le premier FCGI hybride après trois ans des événements virtuels. FCGI 2023: L'avenir que nous voulons avaient les discussions sur l'avenir des politiques de communications canadiennes et la gouvernance de l'internet, les ethiques et réglémentaires de l'IA, et les priorités canadiens des politiques numériques au niveau international.
Les thèmes discuté
Depuis 2019, le FCGI discute de divers sujets, comme les villes intelligentes, l'internet des objets (IdO), les sanctions, les fissures d'internet, les politiques numériques de M. Trudeau, la modération de contenu, l'IA et plus. Les rapports crées après chaque événement sont utilisé pour représenter les priorités des intervenants canadien.ne.s mondiale et entre les décideurs domestiques.
Présence mondiale
À propos du FGI mondial
Qu'est-ce que le FGI?
Le Forum sur la gouvernance de l’Internet (FGI) cherche à réunir divers groupes d’intervenants sur un pied d’égalité lors de discussions sur des questions de politique publique relatives à l’Internet. Bien que l’événement ne donne pas lieu à l’adoption d’un texte négocié, le FGI s’efforce d’informer et d’inspirer les instances décisionnelles publiques et privées. Lors de leur réunion annuelle, les délégués discutent, échangent des informations et partagent leurs bonnes pratiques entre eux. Le FGI facilite une compréhension commune afin d’optimiser au mieux les possibilités offertes par l’Internet et de faire face aux risques et défis qui en découlent.
Mandat du FGI
Dans la résolution adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 16 décembre 2015 (70/125), <<Document final de la réunion de haut niveau de l'Assemblée générale sur l'examen d'ensemble de la mise en œuvre des résultats du Sommet mondial sur la société de l'information,>> le mandat actuel du FGI, tel qu'il est défini au paragraphes 72-78 de l'Agenda de Tunis, a été prorogé pour une période additionel de 10 ans.
Paragraphe 72 de l’Agenda de Tunis : 72. Nous invitons le Secrétaire général de l’ONU à réunir, selon une approche ouverte et non exclusive, d’ici au deuxième trimestre de 2006, un nouveau forum destiné à établir entre les multiples parties prenantes un dialogue sur les politiques à suivre qui, sous le nom de Forum sur la gouvernance de l’Internet, aura pour mandat :
- de traiter les questions de politique publique relatives aux principaux éléments de la gouvernance de l’Internet afin de contribuer à la viabilité, à la robustesse, à la sécurité, à la stabilité et au développement de l’Internet;
- de faciliter le dialogue entre les organes s’occupant de différentes politiques publiques internationales multisectorielles concernant l’Internet et de débattre de questions qui ne relèvent pas de la compétence d’un organe déjà existant;
- de maintenir la liaison avec les organisations intergouvernementales et d’autres institutions appropriées sur les questions relevant de leur mandat;
- de faciliter l’échange d’informations et de bonnes pratiques et, à cet égard, d’utiliser pleinement les compétences des communautés universitaires, scientifiques et techniques;
- de conseiller toutes les parties prenantes en vue de proposer les moyens qui permettront que l’Internet soit disponible et financièrement abordable plus rapidement dans le monde en développement;/li>
- de renforcer et d’accroître l’engagement des parties prenantes, en particulier celui des pays en développement, dans les mécanismes de gouvernance de l’Internet existants et/ou futurs;
- de recenser les nouvelles questions et de les porter à l’attention des organes compétents et du public en général et, s’il y a lieu, de faire des recommandations;
- de contribuer au renforcement des capacités en matière de gouvernance de l’Internet dans les pays en développement, en s’appuyant pleinement sur les sources de savoir et de compétences locales;
- de promouvoir la prise en compte des principes du SMSI dans les mécanismes de gouvernance de l’Internet et de l’évaluer régulièrement;
- de traiter notamment les questions relatives aux ressources fondamentales de l’Internet;
- d’aider à trouver les solutions aux problèmes découlant de l’utilisation et de la mauvaise utilisation de l’Internet, qui préoccupent particulièrement l’usager ordinaire;
- de publier ses travaux.
Visitez le site du Forum sur la gouvernance de l’Internet pour obtenir de plus amples renseignements.